Catégorie : Gynécologie (Page 1 of 2)

Dexeus Mujer et l’UVIC-UCC proposent un Master en Échographie Gynécologique, Obstétrique et Mammaire dans un environnement de pratique clinique

L’importance que l’échographie a acquis comme outil de diagnostic dans la pratique clinique de routine dans tous les domaines de la santé et en particulier dans le domaine de l’obstétrique et de la gynécologie (PMA, obstétrique, gynécologie et échographie mammaire), met en évidence la nécessité de former de manière adéquate les spécialistes en échographie. Pour cette raison, l’éducation et la formation requises doivent être menées à terme dans un environnement réel de pratique clinique et supervisées par des professionnels médicaux experts qui puissent guider leur apprentissage.

Dans ce sens, le Campus Manresa de l’UVIC-UCC et Dexeus Mujer ont établi un accord pour offrir le Master en Échographie Gynécologique, Obstétrique et Mammaire et pour contextualiser la formation dans un environnement de premier ordre, avec beaucoup de contenu pratique et une approche entièrement orientée vers la pratique professionnelle dès le premier instant.

Ce master s’adresse aux infirmiers, aux techniciens en radiodiagnostic et aux techniciens supérieurs en imagerie diagnostique. Le directeur est le Dr Mª Àngela Pascual, directeur de la R&D du Service d’Imagerie Diagnostique Gynécologique du Département d’Obstétrique, de Gynécologie et de reproduction à l’Hospital Universitari Dexeus de Barcelone.

Le master propose un apprentissage en mode mixte et se déroulera du 03/10/2023 au 07/06/2024. Toutefois, l’inscription en ligne est déjà ouverte.

Plus d’informations et inscription

Dexeus Mujer participe à une mission humanitaire au Cameroun

Une équipe de gynécologues de Dexeus Mujer s’est rendue dans le nord-ouest du Cameroun pour participer à une mission humanitaire. Leur objectif est de fournir des soins de santé à la population et de former les médecins et chirurgiens locaux, afin qu’ils puissent apprendre des nouvelles techniques et acquérir plus d’expérience dans les interventions gynécologiques complexes. L’équipe s’est fixée le défi de réaliser au moins 50 interventions en deux semaines seulement.

Le projet est une initiative de la Fondation Jean-Félicien Gacha, dirigée par Elisa Beltrame et soutenue par la Fondation Dexeus Mujer et l’Hospital Universitari Dexeus. Les docteurs Pere Barri Soldevila, Alberto Rodríguez Melcón et Núria Barbany, ainsi que Claudia Montero, María Pellisé et Manuel Sánchez Prieto, internes en quatrième année de gynécologie, participent à la mission.

Le projet prévoit également la collaboration avec différentes équipes afin d’améliorer l’échange de ressources et d’informations entre quatre hôpitaux locaux et d’établir un accord-cadre pour offrir une formation continue, aussi bien aux médecins qui étudient la spécialité de gynécologie et d’obstétrique dans notre centre qu’aux étudiants et au personnel soignant local.

Notre équipe médicale travaille sur la base du volontariat, mais pour couvrir les coûts du voyage et du transport de tous les équipements et matériels médicaux, il leur faut récolter des fonds. C’est pourquoi nous avons lancé une campagne de crowdfunding sur migranodearena.org.

Dexeus Mujer intègre un système numérique de diagnostic moyennant cytologie en milieu liquide

L’objectif est d’optimiser l’étude des échantillons biologiques cervico-vaginaux pour le dépistage du cancer du col de l’utérus

Dexeus Mujer a intégré une nouvelle technique qui accélère et facilite l’analyse des frottis. Il s’agit d’un système numérique qui utilise la « cytologie en milieu liquide » et consiste à introduire les échantillons dans un milieu liquide, qui a une action conservatrice immédiate, dissout les grumeaux, sépare les cellules étudiées des autres composés et réduit le risque de contamination. Une fois la préparation cytologique obtenue, elle est numérisée. Cette technique peut s’appliquer aussi bien à l’étude des frottis de cellules du col de l’utérus et de l’épithélium vaginal, qui sont réalisés de façon routinière lors des contrôles gynécologiques, qu’à l’étude de biopsies afin d’analyser les échantillons de cellules de tissu mammaire.

Le système, grâce à des algorithmes d’intelligence artificielle, parvient à séparer les images qui s’écartent de la normale, ce qui simplifie l’observation des extensions, puisqu’il faut interpréter uniquement les images sélectionnées et non pas l’extension entière.

« Bien que la sensibilité diagnostique soit similaire à la méthode actuelle, il s’agit d’un système automatisé, ce qui réduit le temps d’observation et permet un diagnostic plus rapide. En outre, la cytologie en milieu liquide permet une meilleure conservation et facilite l’analyse des échantillons », explique le Dr Francesc Tresserra, directeur de R&D en gynécologie et chef du Laboratoire de Cytologie de Dexeus Mujer.

« Un autre aspect positif est que ce système permet de disposer d’un réservoir temporaire de cellules d’une patiente au cas où il serait nécessaire de réaliser des analyses supplémentaires, comme la détermination du papillomavirus humain (HPV), évitant ainsi de devoir recourir à un nouveau prélèvement d’échantillon ». Le laboratoire de cytologie Dexeus Mujer analyse actuellement environ 80 000 cytologies par an. Ce nouveau système permettra d’accroître la rapidité des analyses et de porter ce chiffre à plus de 100 000 à partir de janvier 2023.

Cytological appearance cells (Papanicolaou)

La perte de la force de préhension après la ménopause n’est pas associée à des facteurs hormonaux

Une équipe de chercheurs de Dexeus Mujer, en collaboration avec le professeur FR Pérez-López de la Faculté de Médecine de l’Université de Saragosse, a mené une étude visant à évaluer la relation entre les facteurs hormonaux endogènes et la force de préhension de la main dominante chez les femmes ménopausées. L’étude a été menée sur un échantillon de 402 femmes ménopausées âgées de 47 à 83 ans. Les variables suivantes ont été enregistrées : âge, âge à la ménopause, statut tabagique, adiposité, force de préhension (HGS en anglais) et activité physique. Les paramètres hormonaux (hormone folliculostimulante, œstradiol, testostérone, cortisol, sulfate de déhydroépiandrostérone, 4-androsténedione, facteur de croissance analogue à l’insuline-1 [IGF-1], vitamine D et niveaux de parathormone) ont été mesurés.

Selon les résultats, la HGS moyenne de la main dominante était de 22,8 ± 3,7 kg, et 25,6 % des femmes présentaient une dynapénie. Des différences significatives dans les niveaux plasmatiques de l’hormone folliculostimulante, du cortisol et du sulfate de déhydroépiandrostérone ont été détectées entre les femmes ayant une HGS normale et celles souffrant de dynapénie. Après ajustement des variables confusionnelles, aucune association significative n’a été trouvée entre les hormones endogènes étudiées et la force de préhension.

Article de référence :
Relationship between handgrip strength and endogenous hormones in postmenopausal women
Pascual García-Alfaro, Sandra García, Ignacio Rodriguez, Luciana Bergamaschi, Faustino R Pérez-López.
Menopause. 2022 Oct 18.
DOI: 10.1097/GME.0000000000002093.

La perte de la force musculaire à la ménopause n’est pas liée à un taux élevé d’homocystéine

Une étude menée par Dexeus Mujer, et dirigée par le Dr Pascual García Alfaro, chef de l’Unité de la Ménopause, a analysé si des niveaux élevés d’homocystéine peuvent être liés à la perte de masse musculaire et de force de préhension qui caractérise les femmes après la ménopause.

Afin de vérifier cela, l’équipe de Dexeus Mujer a réalisé une sous-analyse d’une cohorte prospective de 303 femmes ménopausées âgées de 62,7 ± 6,9 ans dont la force de préhension (handgrip strength ou HGS en anglais) a été mesurée à l’aide d’un dynamomètre numérique comme critère principal, et les taux plasmatiques d’homocystéine et de créatinine, ainsi que le débit de filtration glomérulaire (DFG), comme critères secondaires.

Selon les résultats, 29,4% des femmes présentaient une dynapénie, leur adiposité était de 40,3 ± 5,4% et 9,57% des femmes présentaient une hyperhomocystéinémie. Il n’y avait aucune différence entre les tertiles d’homocystéine et de force de préhension.

Les taux plasmatiques d’homocystéine n’étaient pas liés à la force de préhension, mais étaient corrélés à l’âge, au DFG et à la créatinine. L’hyperhomocystéinémie n’était pas associée à la force de préhension ou à la dynapénie. Le risque d’une force de préhension faible n’était pas significativement associé à l’homocystéine mais plutôt à l’âge, à l’adiposité et à la créatinine.

Les auteurs ont conclu que la force de préhension et la dynapénie n’étaient pas liées à l’hyperhomocystéinémie. En revanche, l’âge, le DFG et la créatinine étaient significativement associés aux taux d’homocystéine plasmatique.

Article de référence García-Alfaro, P.; Pérez-López, F. R.; Rodriguez, I. Plasma homocysteine levels and handgrip strength in postmenopausal women. Climacteric, 1-6. 9 mai 2022. DOI: 10.1080/13697137.2022.2068409.

Une étude facilite le diagnostic échographique des pathologies endométriales basées sur la terminologie IETA

Le Dr Mª Angela Pascual, directrice de Recherche, Développement et Innovation au Service d’Imagerie Diagnostique Gynécologique de Dexeus Mujer, a participé à une vaste étude prospective multicentrique européenne chez des femmes pré et post-ménopausées afin de décrire les résultats échographiques des pathologies cavitaires et endométriales en utilisant la terminologie du groupe IETA (International Endometrial Tumor Analysis).

La base de données comprenait 2856 femmes consécutives présentant des saignements utérins anormaux. Dans tous les cas, une échographie Doppler couleur a été réalisée et dans 1857 cas, une échographie avec instillation de solution saline a été réalisée. L’histologie de l’endomètre était disponible chez 2216 femmes, qui ont constitué la population de l’étude. L’âge moyen des patientes était de 49 ans (intervalle, 19-92 ans). L’échantillonnage de l’endomètre a été effectué selon le protocole local de chaque centre.

Au total, des polypes endométriaux ont été diagnostiqués chez 751 femmes (33,9 %), des fibromes sous-muqueux chez 223 femmes (10,1 %) et 137 femmes (6,2 %) ont été diagnostiquées avec un cancer de l’endomètre. Aucune (0 % [IC 95 % ; 0,0-5,5 %]) des 66 femmes présentant une épaisseur endométriale inférieure à 3 mm n’a eu de cancer de l’endomètre ou d’hyperplasie atypique/EIN. Un cancer de l’endomètre ou une hyperplasie atypique/NEI a été détecté dans trois des 283 endomètres (1,1 % [IC 95 % ; 0,4-3,1 %]) d’aspect trilaminaire, dans trois des 459 endomètres (0,7 % [IC 95 % ; 0,2-1,9 %]) présentant une ligne médiane linéaire et dans cinq des 337 cas (1,5 % [IC 95 % ; 0,6-3,4 %]) présentant un seul vaisseau non ramifié à l’échographie sans solution saline.

Les auteurs ont conclu que la détection de certaines caractéristiques faciles à évaluer du groupe IETA (épaisseur endométriale inférieure à 3 mm, endomètre trilaminaire, ligne médiane régulière et vaisseau unique non ramifié) est associée à une faible probabilité de cancer de l’endomètre.

Article de référence :
Typical ultrasound features of various endometrial pathologies described using International Endometrial Tumor Analysis (IETA) terminology in women with abnormal uterine bleeding
T Van Den Bosch, J Y Verbakel L Valentin, L Wynants, B De Cock, M A Pascual, F P G Leone, P Sladkevicius, J L Alcazar, A Votino, R Fruscio, C Lanzani, C Van Holsbeke, A Rossi, L Jokubkiene, M Kudla, A Jakab, E Domali, E Epstein, C Van Pachterbeke, T Bourne, B Van Calster, D Timmerman.
Observational Study Ultrasound Obstet Gynecol. 2021 Jan;57(1):164-172.
doi: 10.1002/uog.22109.

Une étude analyse la meilleure technique pour prévenir les saignements lors des myomectomies

Chez Dexeus Mujer, deux techniques sont systématiquement appliquées pour maintenir l’hémostase : le clippage temporaire des artères utérines à leur origine et des vaisseaux ovariens au niveau de l’infundibulum pelvien, et l’injection intramyométriale d’adrénaline avant de réaliser l’hystérectomie. Les deux procédures sont sûres et ne donnent lieu à des complications que dans un nombre restreint de cas. Cependant, l’injection d’adrénaline est associée à des effets secondaires tels que l’hypertension, la bradycardie, les arythmies et l’arrêt cardiaque. Le clippage est une alternative, mais jusqu’à cette étude, on ignorait si le taux de complications hémorragiques pouvait être similaire ; de plus, il s’agit d’une option moins répandue car elle nécessite d’expérience dans son application.

Au total, 625 patientes ayant subi une intervention chirurgicale entre janvier 2009 et décembre 2019 ont été analysées. Leur âge moyen était de 37,82 ans et 69,8 % présentaient des symptômes. Les symptômes les plus fréquents étaient les saignements (33,2 %), l’augmentation du volume pelvien (24,2 %) et les problèmes de fertilité (24 %).

Les auteurs de l’étude concluent que le clippage temporaire des artères utérines à leur origine et des vaisseaux ovariens est la meilleure technique pour réduire le risque d’hémorragie pendant l’intervention, bien qu’il ne s’agisse pas d’une procédure répandue, car elle nécessite d’expérience dans son application. L’étude a également montré que la myomectomie laparoscopique est une technique sûre, qui offre en général un grand succès chirurgical et reproductif ultérieur. Cependant, les auteurs admettent que leur étude présente plusieurs limites, puisqu’il s’agit d’une étude monocentrique, principalement descriptive et basée sur leur propre expérience, et ils soulignent donc que d’autres études sont nécessaires pour obtenir des conclusions définitives.

Étude de référence :
Evolution of laparoscopic myomectomy and description of two hemostatic techniques in a large teaching gynecological center
Sandra Coll, Silvia Feliu, Claudia Montero, Maria Pellisé-Tintoré, Francesc Tresserra, Ignacio Rodríguez Pere Nolasc Barri-Soldevila.
Eur J Obstet Gynecol Reprod Biol. 2021 26 26; 265181-189. DOI: 10,1016 / j.ejogrb.2021.08.023.

Le risque de dynapénie augmente en fonction de l’âge et de l’adiposité

Les variables analysées ont été : l’âge, l’âge au début de la ménopause, le tabagisme, la force de préhension, l’indice de masse corporelle et l’adiposité évaluée par impédance bioélectrique. Le niveau d’activité physique a été évalué à l’aide du Questionnaire mondial sur la pratique d’activités physiques (IPAQ). La densité minérale osseuse a été rapportée sous forme de score T, et les paramètres biochimiques sanguins (calcium, phosphore, vitamine D et taux de parathormone) ont été mesurés.

D’après les résultats, 31,3 % des femmes présentaient une dynapénie, et celles qui avaient atteint 65 ans ou plus avaient une force de préhension plus faible. Le début de la ménopause avant l’âge de 51 ans a été également associé à une force de préhension plus faible. En outre, une teneur en graisse égale ou supérieure à 40 % et une ostéopénie/ostéoporose ont aussi été associées à une force musculaire plus faible. En revanche, l’étude n’a pas montré de différences statistiquement significatives dans la diminution de la force de préhension en fonction de l’indice de masse corporelle, du tabagisme et du taux plasmatique de vitamine D.

Les auteurs ont conclu que la diminution de la force de préhension est associée à l’âge au début de la ménopause, à la densité minérale osseuse et à l’adiposité ajustée à l’âge. L’âge et l’adiposité sont donc significativement associés à un risque accru de dynapénie.

Article de référence :
Handgrip strength, dynapenia, and related factors in postmenopausal women
Pascual García-Alfaro, Sandra García, Ignacio Rodríguez, Faustino R Pérez-López.
Menopause 2021 Oct 18. DOI: 10,1097/GME.0000000000001872.

Dexeus Mujer participe à un Guide de la SEGO pour le diagnostic échographique de malformations utérines

La Dr Betlem Graupera, Chef du Service de Diagnostic Gynécologique par l’image (DGI) de Dexeus Mujer, fait partie du groupe de quatre experts qui a élaboré un Guide pour le diagnostic de malformations utérines (MU) et anomalies du tractus génital bas, édité par la Société Espagnole de Gynécologie et Obstétrique (SEGO).

Le guide fournit des informations sur les derniers travaux réalisés dans ce domaine et évalue l’efficacité diagnostique des différentes techniques d’exploration sur la base de la sensibilité et de la valeur prédictive. De plus, il offre des données de prévalence dans la population et indique que l’échographie tridimensionnelle (échographie 3D) est considérée la technique principale dans le diagnostic des MU, toujours accompagnée par une attentive exploration bimanuelle et spéculoscopie (pour une étude appropriée de cervix et vagin). De même, il offre des indications pratiques pour la réalisation de la capture du volume 3D, ainsi que de la reconstruction de ces volumes pour obtenir le diagnostic des malformations.

Il faudrait réserver les techniques hystéroscopie et laparoscopie pour des cas plus complexes ou qui pourraient en bénéficier dans le traitement. L’utilisation de l’IRM est toujours plus limitée pour ce diagnostic car dans très peu de cas elle fournit de nouvelles informations en plus de l’échographie 3D.

Le guide inclut aussi un tableau qui indique les équivalences entre les différents types de MU selon les deux systèmes de classification plus utilisés, celui établi par l’American Fertility Society (AFS) et celui de la European Society of Human Reproduction and Embryology et la European Society of Gastrointestinal Endoscopy (ESHRE/ESGE) ainsi que les caractéristiques échographique des deux, en utilisant l’échographie conventionnelle et l’échographie 3D, et il offre des recommandations aux professionnels pour élaborer les rapports.

La chlamydia est la IST plus fréquente en Catalogne dans les jeunes entre 18 et 24 ans

En Catalogne la prévalence globale de Chlamydia trachomatis (CT) décrite est de 4%, mais on sait qu’elle est beaucoup plus fréquente dans les jeunes femmes, par conséquent les organismes internationaux recommandent des dépistages réguliers sur cette population, vue que, en général, les gens infectés sont asymptomatiques.

Le centre Dexeus Mujer réalise depuis 2019 les dépistages de CT de façon habituelle sur les femmes sexuellement actives de 18 à 24 ans qui se rendent à leurs visites de gynécologie. Il a été donc décidé de mener une étude prospective, dirigée par la Dr Núria Parera, responsable de l’Unité de Gynécologie de l’Enfance et de l’Adolescence, afin d’estimer la prévalence de cette maladie dans ce groupe de population.

On a sélectionné 516 patientes qui ont fait un dépistage de IST entre mai 2017 et mai 2019, avec un âge moyen de 22,0 ± 1,9. Toutes les patientes ont été préalablement informées sur les caractéristiques de l’étude et elles ont signé un consentement informé.

Les résultats du travail confirment la fréquence de cette infection bactérienne dans les jeunes de moins de 25 ans qui vivent en Catalogne, vu que 4,5% a été testé positif pour CT. Cependant, les auteurs indiquent que sa prévalence est probablement plus élevée, car « notre étude se limite aux patientes d’un centre privé, mais la plupart des femmes de moins de 25 ans ne se rendent pas aux visites de gynécologie et, dans le cas contraire, elles s’y rendent seulement de façon exceptionnelle ou pour contrôler d’autres problèmes, c’est pour cela que cette IST est infra-diagnostiqué», indique la Dr. Parera. L’étude a été récemment publiée dans la revue officielle de la Société Espagnole de Gynécologie et Obstétrique.

Article de référence :
Prevalencia de la infección por Chlamydia trachomatis en mujeres adolescentes y jóvenes que acuden a una consulta ambulatoria de ginecología
Progresos de Obstetricia y Ginecología, revista Oficial de la Sociedad Española de Ginecología y Obstetricia; volumen 63, número 4, Págs. 212-272, ISSN: 0304-5013

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